Condoléances
Je me souviens de ce bon copain comme quelqu'un qui était habité par un profond sentiment d'injustice dans ce monde. Il avait choisi d'échapper à cela notamment par le travail. Travailleur il l'était ; trop certainement ... Même si on s'était perdu de vue depuis longtemps déjà, je pensais à lui très souvent en passant devant sa maison natale chaque jour. Il est parti comme il a vécu, discrètement.
J'aimais bien Daniel. Je suis content de l'avoir connu et je ne l'oublierai pas. Toute ma sympathie à toute sa famille et bien sûr à sa mère et à sa soeur.
YVES MARTIN- 27-07-16